Skip to content

VERDI de l'Origine!

C’est autour d’une femme, Béatrice Nédellec, fondatrice et présidente d’Alto Concerts, que Nicolas Krauze (chef d’orchestre), Michel Giès (metteur en scène) et Thomas Palmer (maître de chant), se sont réunis pour raconter et mettre en spectacle VERDI ! (Production française !). Puissantes, engagées et poétiques, les œuvres de Verdi ont traversé le monde. Et continuent à le faire, inspirant avec toujours autant d’enthousiasme et d’allant, le public quel qu’il soit.

La programmation choisie permet de découvrir l’éventail du répertoire de Verdi. On y découvre l’expression des passions humaines les plus profondes et les plus sublimes à travers la musique et les chanteurs. La création a présenté Falstaff (Acte II, 2ème tableau), Simon Boccanegra (Acte I, 1er tableau) et Aïda (Acte III) avec dix solistes, mise en scène et costumes, orchestre de 25 musiciens et quatre-vingt choristes. La création VERDI ! a eu lieu le samedi 7 octobre 2017 au théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison. Cette création sera suivie d’une tournée dans plusieurs théâtres d’Ile-de-France et régionaux lors de la prochaine saison 2019-2020.

Arguments

FALSTAFF

Acte 2, 2ème tableau

Sir John Falstaff (baryton), Olivier Grand

Ford, riche bourgeois (baryton), Benjamin Mayenobe

Fenton, jeune gentilhomme (ténor), Amadi Lagha

Mrs Alice Ford (soprano), Elodie Hache

Mrs Quickly (contralto), Victoria Mikulina

Nannette, fille d’Alice Ford (soprano) , Claire Lairy

Mrs Meg Page (mezzo-soprano), Alicia Haté

Le Docteur Caïus (ténor), Joseph Kauzman

Pistola, serviteur de Falstaff (basse), Nicolas Certenais

Chez les Ford, Dame Quickly raconte à ses commères sa rencontre avec Falstaff (« Giunta all’Albergo della Giarrettiera »). Toutes s’en amusent, sauf Nannetta qui pleure, craignant que son père ne la force à épouser le Docteur Caius. Sa mère la rassure : elle ne laissera pas un tel mariage avoir lieu. Les quatre femmes s’activent alors pour aménager les lieux en vue de la comédie qu’elles ont préparée pour Falstaff (« Gaie comari di Windsor ! »). 

Falstaff paraît : Alice lui donne le change en l’enjôlant avec des paroles amoureuses. Il lui raconte comme il était mince autrefois (« Quand’ero paggio »). Elle lui dit redouter qu’il n’aime en fait que Meg, et il se répand en paroles insultantes pour cette dernière. Celle-ci paraît, annonçant l’arrivée, que les commères pensent imaginaire, de Ford. Mais voilà que celui-ci arrive réellement ! Les femmes cachent Falstaff terrorisé dans un panier à linge. Ford, Caius et Pistola fouillent les lieux (« Al ladro ! Al pagliardo ! »). 

Pensant avoir trouvé le coupable, ils débusquent en fait Nannetta et Fenton, échangeant de doux baisers derrière un paravent. Alice demande alors à ses domestiques de vider la panière à linge dans l’eau vaseuse de la Tamise après avoir envoyé chercher son mari pour assister à la scène, qui se termine dans un éclat de rire général.

SIMON BOCCANEGRA

Acte 1, 1er tableau

Simon Boccanegra, corsaire puis doge de Gênes (baryton) : Olivier Grand

Maria Boccanegra, fille adoptive de Fiesco, sous le nom d’Amelia Grimaldi (soprano) et fille de Simon Boccanegra : Elodie Hache

Jacopo Fiesco, noble génois, sous le nom d’Andrea (basse) : Nicolas Certenais

Gabriele Adorno, gentilhomme génois (ténor) : Amadi Lagha

Paolo Albiani,  conseiller du doge (basse) : Benjamin Mayenobe

Pietro, courtisan (baryton) : Benoit Gadel

Sur le rivage, devant le Palais Grimaldi. Amelia contemple la mer et rêve en attendant celui qu’elle aime, Gabriele Adorno. Celui-ci complote aux côtés de Fiesco contre le Doge Simon Boccanegra. Il arrive, et elle le met en garde contre les dangers qu’il court. Elle le presse d’hâter leur mariage. Fiesco révèle à Gabriele qu’Amelia est une orpheline et qu’elle n’est pas la vraie fille des Grimaldi, ce qui ne modifie en rien les sentiments du jeune homme.

Voici justement le Doge et sa suite. Il vient pour sonder les sentiments d’Amélia, que son favori Paolo Albiani voudrait épouser. Il lui annonce que les   Grimaldi sont graciés et peuvent rentrer à Gênes, puis il tente de plaider la cause de Paolo. Mais Amelia coupe court en avouant au Doge qu’elle en aime un autre et que de surcroît, elle n’est pas une Grimaldi. De confidence en confidence, Simon Boccanegra comprend bientôt qu’il se trouve en présence de sa propre fille Maria. Joie du père, joie de sa fille. Paolo, évincé, décide de faire enlever Amélia.

AÏDA

Acte III

Amneris, fille du roi d’Egypte (mezzo-soprano) : Victoria Mikulina

Aïda, esclave éthiopienne au service d’Amneris (soprano) : Elodie Hache

Amonasro, roi d’Éthiopie, père d’Aïda (baryton) : Benoit Gadel

Radamès, capitaine égyptien (ténor) : Amadi Lagha

Ramphis, grand prêtre égyptien (basse) : Nicolas Certenais

Sur les bords du Nil, près du temple d’Isis. Accompagnée de Ramphis, Amneris vient invoquer la protection de la déesse avant son union avec Radamès. De son côté, Aïda attend Radamès, qui lui a donné rendez-vous dans ce même lieu. Elle évoque avec nostalgie le souvenir de son pays natal. Elle est interrompue par l’arrivée d’Amonasro, qui a surpris le secret de sa fille et entend l’exploiter. En effet, les Ethiopiens ont repris le combat et s’apprêtent à affronter à nouveau l’armée égyptienne conduite par Radamès.

Attisant la jalousie d’Aïda, tout en lui faisant miroiter la patrie retrouvée, Amonasro essaie de convaincre sa fille d’utiliser son emprise sur Radamès pour que celui-ci lui révèle la route qui sera suivie par son armée. Devant le refus horrifié d’Aïda, Amonasro maudit sa fille, la renie et la traite d’esclave des pharaons. Brisée, Aïda finit par céder. Radamès arrive, Amonasro se cache. Radamès renouvelle ses déclarations d’amour et Aïda lui demande de fuir avec elle en Ethiopie. Devant les hésitations de Radamès, Aïda lui déclare froidement qu’il ne l’aime pas. Qu’il aille donc rejoindre Amneris ! Oubliant sa patrie et son devoir, Radamès décide alors de suivre Aïda.

Elle lui demande quel chemin prendre pour éviter son armée. Tombant dans le piège, Radamès indique que les troupes égyptiennes passeront par les gorges de Napata. Sortant de sa cachette, Amonasro clame sa joie d’être en mesure, grâce à cette information, de tomber par surprise sur les troupes égyptiennes et révèle sa véritable identité à Radamès qui, anéanti, prend conscience de sa trahison. Surviennent Amnéris et Ramphis. Amonasro, désarmé par Radamès, entraîne Aïda dans sa fuite, tandis que Radamès se livre aux gardes du Grand Prêtre.

Distribution

Distribution complète VERDI – 7 octobre TAM 

Orchestre de Chambre de la Nouvelle Europe

Direction musicale : Nicolas Krauze

Direction artistique : Béatrice Nédellec

Mise en scène, scénographie, lumières : Michel Giès

Costumes : Rocelia Evans

Textes : Michel Giès

Assistant musical et chef de chant : Thomas Palmer

Assistante à la mise en scène : Clémence Coullon

Assistante aux costumes : Florence Guillemyn

Maquillage et coiffure : Emilie Marie et Matthieu Bui

Elodie Hache, soprano : Alice Ford, Amelia, Aïda

Olivier Grand, baryton : Falstaff, Simon Boccanegra

Amadi Lagha, ténor : Fenton, Gabriele, Radamès

Victoria Mikulina, mezzo-soprano : Mrs Quickly, Amneris

Alicia Haté, mezzo-soprano : Meg Page

Claire Lairy, soprano : Nanetta, une servante

Nicolas Certenais, basse : Pistola, Fiesco , Ramphis

Benoit Gadel, baryton basse : Pietro, Amonasro

Benjamin Mayenobe, baryton : Ford, Paolo

Joseph Kauzman, ténor : Docteur Caïus

Barthélémy German, Charles Vasner, Romain Maillard, Gilles Gnamlin : comédiens

Assistants production : Aurélia Coullon, Quentin Sester

Chœur Euphonia (Rueil-Malmaison), direction : Aude Glatard

Chœur Da Capo (Montrouge), direction : Mariana Yotova

 

Production

ALTO CONCERTS

Artistes

En France il a récemment été invité à diriger l’Orchestre National d’Île-de-France, l’Orchestre de l’Opéra National de Montpellier Languedoc-Roussillon, l’Orchestre National de Lorraine, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’Orchestre d’Avignon-Provence, l’Orchestre Lamoureux, l’Orchestre Symphonique régional de Limoges, l’Orchestre de Picardie ou encore l’Orchestre de Normandie.

A l’étranger où il connait une carrière en pleine ascension, il s’est produit récemment et se produira prochainement dans des productions lyriques et avec des orchestres symphonique nationaux en Italie, Pologne, République Tchèque, Roumanie, Hongrie, Russie, Ukraine, Kazakhstan, Equateur, Brésil & Argentine. Début 2017, il dirige une tournée symphonique

Site internet : www.nicolaskrauze.com

Béatrice Nédellec est fondatrice et directrice artistique du Festival des Envolées Lyriques à Rueil-Malmaison, 1erfestival d’art lyrique en Ile-de-France. D’origine italienne, lombarde par son grand-père, et passionnée d’opéras, elle pratique de nombreuses années le chant lyrique au Conservatoire de Suresnes dans la classe de Laurence Malherbe après avoir exercé le piano. Elle participe en 1998 à la création du festival de musique classique à Malte qui fait l’objet d’une diffusion télévisée à l’émission « Musique au Cœur » d’Eve Ruggieri sur France 2, émission qui sera primée. En 2006, elle crée l’association Opéra Bel Canto pour promouvoir les jeunes talents et l’art lyrique auprès d’un large public et lance la 1ère édition du  Festival des Envolées Lyriques en 2010. Le 6ème festival des Envolées Lyriques en 2016 a accueilli Nicolas Bacri et son opéra Cosi Fanciulli dirigé par David Stern et son orchestre Opera Fuoco et en présence d’Eric-Emmanuel Schmitt le librettiste.  Sandrine Piau a animé la Master Class et le concert des Jeunes talents 2016. Béatrice Nédellec et son équipe préparent la 7ème édition des Envolées Lyriques qui aura lieu à Rueil-Malmaison en fin d’année 2018. Avant cette date, dans le cadre de sa nouvelle structure de production ALTO CONCERTS elle présentera le 7 octobre 2017 à Rueil-Malmaison son nouveau spectacle VERDI ! au théâtre André Malraux de Rueil-Malmaison avec Nicolas Krauze, directeur musical et son orchestre de Chambre Nouvelle Europe et Michel Giès, metteur en scène. Béatrice Nédellec s’est donnée comme objectif à travers ses deux structures (Opéra Bel Canto et Alto Concerts) de faciliter l’accès à la musique et à l’opéra en particulier, pour tout public et de faire émerger les jeunes talents et leur permettre de travailler avec des professionnels de renommée nationale et internationale et de promouvoir le spectacle vivant sur des scènes françaises et internationales.

Après des études théâtrales, musicales et chorégraphiques, Michel Giès crée des spectacles musicaux et monte des opéras en France et à l’international.

Il met en scène Les Contes d’Hoffmann à Séoul (Corée), il monte en France Norma (Nantes), Mignon (Metz, Tours, Avignon) et Les Voix du Sérail (Festival de Carpentras). Il s’emploie à faire connaître par ses productions le répertoire lyrique français : Manon (Séoul, Corée), Carmen (Lodz, Pologne), Samson et Dalila (Karkhov, Ukraine), La Vie Parisienne (Hong-Kong), La Voix Humaine de Poulenc avec Le Téléphone de Menotti (Andorre). Il met en scène la création contemporaine : Anas-El-Wogood (Aziz El-Shawan, création mondiale au Caire, en Égypte). Il a également créé de nombreux spectacles de chansons et de mélodies.

site internet : www.michelgies.net

Academic Information

2010- 2014-A Fashion Design degree (Licenciatura en diseño de moda) from the Modelo University of Mérida, Yucatán, México.

Training

-January 2015- Intelligent textiles course presented by Amor

Muñóz in Mérida, Yucatán.

-August 2014- Art Direction and Costume Design workshop presented by Ángeles Martínez y Mónica Neumaier; by Cinema Pa ‘ Akat , Merida, Yucatan.

-September 2013-Basic course of FX makeup presented by Edgar Ruiz Fernández, director of Gofx Studio in Mexico city.

Work Experience

Costume design, costume production and makeup for theatre

-“Franz Kafka y la niña de la muñeca perdida” directed by Nelson Cepeda Borba(2016)

-“Enrique IV” directed by Randia Escalante and produced by Caballo Azul theatre company (2016)

-“Toh: el mensajero” for the Otoño Cultural annual festival (2015)

-“Venus y Adonis” directed by Paco Marin and produced by Caballo Azul theatre company (2015)

-“Pipi” for the Yucatan Superior School of Arts (ESAY). (2014)

-“Cantata de Piík´il” for the Yucatan Superior School of Arts (ESAY) (2014).

-“Neva” directed by Nelson Cepeda Borba for the Cultural Autumn Fest 2014.

-“Sinfonía para un dictador” directed by Oscar López (2014).

-“Pinturas Vivientes” for the Yucatan Superior School of Arts (ESAY) (2014).

Costume design and costume production for film, short films and audiovisual productions.

-Head of wardrobe at the Mexican unit for the film “Beatriz at dinner” directed by Miguel Arteta (2016).

-Music video “Daemonorum”performed by Arges (2016)

-Music video “Legacy” performed by Necromance (2016)

-“El Faisán y el venado” winner of the 2nd edition of the Shortfilm race MID(2016)

-Short film “AUGUSTO” produced by Nomada Arte Cultura(2015)

-Music video “Spiral Writhe of a Drilled World” performed by Überhate (2015).

-Music video “Entre el cielo y la luna” performed by Atversus (2014).

-Advertisement video “Sigue el camino Amarillo” for the INTER University (2014)

Après des débuts musicaux en tant que pianiste de variété, Thomas Palmer suit post-bac des études musicales complètes au Conservatoire de Toulouse. Passionné par le travail avec les artistes lyriques il intègre ensuite le CNSM de Paris en classe de direction de chant d’où il sort diplômé mention TB à l’unanimité. Depuis il est régulièrement invité en tant que chef de chant à Paris au Théâtre du Châtelet, au Théâtre des Champs-Elysées, à l’Opéra Comique ou pour Radio France et en province à l’Opéra de Rouen, Clermont-Ferrand, Limoges …

Ses expériences lui ont permis de travailler avec des artistes tels que Placido Domingo, Patricia Petibon, Sophie Koch ou les chefs Alain Altinoglu, Harmut Haenchen et Jérémie Rhorer notamment. Apprécié pour ses conseils de coach vocal, il fait travailler et se produit en concert avec des chanteurs tels que Emmanuelle de Négri, Jodie Devos, Julien Dran, Delphine Haidan, Jérôme Varnier mais aussi Karine Deshayes, Nicolas Testé et Diana Damrau.

Elodie Hache est diplomée de l’Université Paris-Sorbonne (Musicologie) et étudie le chant auprès d’Alexandra Papadjiakou. Elle est finaliste des concours Montserrat Caballé et concours Viñas et lauréate des concours d’Alcamo et Vivonne.

Elle intègre en 2012 l’Atelier Lyrique de l’Opéra national de Paris. Dans ce cadre, elle chante Arminda, Clarice, Female Chorus, Donna Elvira, Phèdre et divers concerts au Louvre et à l’opera de Paris.

Elle chante le rôle de Sandmännchen dans Hänsel et Gretel au Palais Garnier, La Grande Prêtresse dans Aida à l’Opéra Bastille sous la direction de Philippe Jordan et double le rôle de Chimène dans Le Cid dirigé par Michel Plasson.

Elle interprète le rôle de Micaëla dans Carmen avec l’Orchestre Symphonique de Paris, Ortlinde dans Die Walküre puis des extraits de Liú dans Turandot à l’Opéra de Rennes, Elena dans Mefistofele de Boito à Cracovie, Armide dans l’opéra éponyme de Lully à Innsbruck, Vitellia dans La Clémence de Titus à Mulhouse et Saint-Etienne où elle chante également Anna dans Nabucco, Blanche de la Force dans Dialogues des Carmélites et La Baronne de Gondremarck dans La Vie Parisienne.

Lors de saison 2017-2018, elle chante le Requiem de Verdi à Saint-Etienne et retourne à l’Opéra national de Paris pour chanter Inès dans Il Trovatore.

À 20 ans, Olivier Grand remporte de nombreux concours et est admis à l’Ecole de Chant de l’Opéra de Paris où il se perfectionne. Il est très rapidement engagé sur les plus grandes scènes françaises (Bordeaux, Opéra Bastille, Opéra Comique, Marseille, St Etienne, Metz, Chorégies d’Orange, Strasbourg, Nice, Toulon, Avignon, Toulouse, Massy, Nancy, Tours), et internationales (Genève, Madrid, Barcelone, Venise, Tel Aviv, Monte-Carlo, Séville, Moscou, Trieste, Athènes, Liège, Oman).

Son large répertoire comprend aussi bien les rôles français tels que Ourrias (Mireille), Valentin (Faust), L’Enfant et les Sortilèges (Le Chat et L’Horloge), Lescaut (Manon), Karnac (Le Roi d’Ys), Zurga (Les Pêcheurs de Perles), Directeur de Théâtre / Le Gendarme (Les Mamelles de Tirésias), et le Geôlier (Dialogues des Carmélites), Capulet (Roméo et Juliette) que des rôles du répertoire italien tels que le rôle-titre de Rigoletto, Figaro du Barbier de Séville ou Enrico (Lucia di Lammermoor), Germont (La Traviata), Barnaba (La Gioconda), Il Conte di Luna (Il Trovatore), Alfio (Cavalleria Rusticana), Fra Melitone (La Forza del Destino), Falstaff et Ford (Falstaff), Lescaut(Manon Lescaut).

On a pu l’entendre aussi dans l’Opéra Contemporain (Salammbô à l’Opéra Bastille et Il Divorzio all’italiana à l’Opéra de Nancy) mais aussi dans l’Opérette, répertoire qu’il affectionne tout particulièrement (La Grande Duchesse de Gerolstein, La Vie Parisienne, La Belle Hélène, La Périchole, La Chauve-Souris, Les Mousquetaires au Couvent, La Veuve Joyeuse,…)

Il a chanté sous la direction de nombreux chefs d’orchestre tels que Michel Plasson, MyungWhun Chung, Seji Osawa, Alain Guingal, Jacques Lacombe, Antoni Ros-Marba, Laurent Campellone et collaboré avec des metteurs en scène tels que Jérôme Savary, Jean-Louis Grinda, Jean-Louis Pichon, Francesca Zambello, Laurent Pelly, Charles Roubaud, Paul-Emile Fourny…

Sa discographie comprend L’Homme de la Mancha (chez Forlan aux côtés de José Van Dam) et plus récemment Tistou et les pouces verts d’Henri Sauguet commandé par Radio France et enregistré à la Salle Pleyel.

Parmi ses projets, notons entre autres, La Chauve-Souris à Marseille, Carmen à Monté-Carlos et Toulouse, La Veuve Joyeuse et la Vie Parisienne à Marseille, Rusalka à Tours et de Nombreux concerts dans toutes la France…

Elève de la classe de chant d’ Alexandra Papadjiakou à Paris, Amadi Lagha commence son parcours musical par la guitare classique. Parallèlement, il fréquente le conservatoire de Jazz à Paris et l’université Paris 8 où il obtient son Master 2 musique en 2006. Étant doctorant en arts à l’université Paris Est Marne la vallée, il décide de suspendre ses travaux de thèse pour privilégier sa carrière de chanteur lyrique.

Il est lauréat des concours internationaux Amandola « CANTO FESTIVAL 2015 – ottava ediizione », « Opera Pienza 2015″ à Sienne, »voix lyrique 2015 O.M.E.G.A » à Florence, « Katia Ricciarelli 2015 » à Verone, « Maria Caniglia-2014 » à Sulmona, « Città di Alcamo » en Sicile, « chant lyrique Canari 2012 » en Corse. Il reçoit également le prix Michelangelo Cupisti du meilleur interprète de la saison 2017 au Festival international Puccini de Torre del Lago en Italie.

Il interprète les rôles de : Calaf dans Turandot au Festival international Puccini de Torre del Lago, au théâtre  »Petruzelli de Bari’’, au théâtre  »Lirico di Cagliari », au grand théâtre de  »Brescia » et à l’opéra de Rennes. Rodolfo au Festival Opera en plein air à Paris et au Festival Puccini, Turiddu dans la  »Cavalleria Rusticana » de Mascani au Festival « Tunes and Stones » à Verbania/Italie, Nadir dans  »Ali baba » de Luigi Cherubini’ et Manrico dans le Trouvaire, de nouveau, à l’opera de Rennes.

En concert, il se produit au Festival international de  »Musiques symphoniques d’Algers », au Festival international de  »Mezza Estate di Tagliacozzo » en Italie, dans le  »Stabat matter’’ de Rossini à l’église de la Madeleine à Paris, dans la 9ème symphonie de Beethoven à la Basilique de « Santa Maria in Aracoeli » à Rome, au stade de  »Tasmajdan » à Belgrade…

En 2018, il sera, entre autre, Mario cavaradossi dans la Tosca au grand théâtre Puccini de Torre del Lago et Manrico au théâtre de Petruzzelli de Bari.

Victoria Mikulina est née en Russie.  En 2011 elle a obtenu le diplôme du chant lyrique et de l’art théâtral à l’Academie Russe de l’Art théâtral « GITIS » de la ville de Moscou. En 2011 elle a commencé sa carrière professionelle quand elle a été invitée à chanter à l’HELIKON-opéra de Moscou. Elle a chanté le rôle de Filippievna dans « Eugène Onéguine » de Tchaïkovski sous la direction de Konstantin Chudovsky, Vladimir Ponkin, Ayrat Kashaev, Valery Kirianov et dans la mise en scène de Dmitry Bertman. De 2011 à 2013 Victoria Mikulina a travaillé en tant que chanteuse lyrique au Théâtre Musicale d’Etat de Moscou sous la conduite de Ghennady Chikhachev, où elle a interprété beaucoup de rôles dans les opéras nombreux des compositeurs contemporains. De 2013 à 2015 elle a travaillé en tant que chanteuse lyrique sous la direction de Guennadi Rojdestvenski au Théâtre Musical de Chambre d’Etat de Moscou nommé d’après Boris Pokrovsky. Elle a chanté le rôle de Cornélie dans « Jules César » de Händel, le rôle de Solokha dans « Les Souliers de la reine » de Tchaïkovski, le rôle de Lisette dans « Le monde de la Lune » de Haydn et les rôles differents dans les opéras des compositeurs contemporains.

En 2016 Victoria Mikulina a chanté le rôle d’Urlica dans « Un bal masqué » de Verdi à la ville de Plaisance (Italie).

En 2017 elle a chanté le rôle d’Azucena dans « Le Trouvère » de Verdi à la ville de Bologne (Italie).

En 2017 elle va chanter le rôle di Santuzza dans « Chevalerie campagnarde » de Mascagni à la ville de Bologne.

Passionnée par le chant, la musique, le spectacle en général, Alicia Haté a effectué plusieurs années d’études dans les conservatoires d’Orléans, Cergy-Pontoise et Paris, sanctionnées par 3 prix. Intéressée par tous les genres, son répertoire s’étend de l’opéra à l’opérette en passant par la mélodie. En 2016 elle obtient le prix Léo Delibes au 2ème Concours de Mélodie Française de Coulaines. Elle est élue lauréate de l’année par le public au Concours Bellan et obtient le Prix d’Honneur en 2013. Cette même année, elle reçoit le Prix du Public, lors du 10ème Concours des Amis du Grand Théâtre de Bordeaux. Cette saison, elle est artiste surnuméraire du Choeur de l’opéra de Lille dans « Le Vaisseau Fantôme » de Richard Wargner, direction musicale Eivind Guiberg Jensen, mise en scène Alex Ollé et, La troisième Dame dans  « La Flûte enchantée »  de Mozart, mise en scène de Jean-Philippe Corre, direction musicale Philippe Mestres pour Opéra de Plein Air à Gujan Mestras. Elle participe à la production de « La Mante » Mini série de TF1 du réalisateur Alexandre Laurent, sortie en septembre 2017.

Après l’obtention du diplôme d’ingénieur de l’Ecole des Mines de Nantes, Claire Lairy se consacre au chant lyrique.  Janine Reiss la dirige alors dans sa formation. Sur ses conseils, elle entre en 2010 à l’Ecole Normale Supérieur de Musique de Paris. Elle obtient en 2015 elle obtient le Diplôme Supérieur de Concertiste, plus haute distinction de l’école. Lors de Master Classes, Claire a pu se perfectionner auprès de Janine Reiss, Florian Laconi, Dalton Baldwin, Karine Deshayes, Yann Beuron, Luciana Serra de l’école de la Scala de Milan, Alain Fondary…

Claire participe à de nombreux festivals (Giverny, Dinard, Nancy, Rueil-Malmaison, Montpellier, Egreville) Sur scène elle est notamment Suzanna, Sophie, Traviata, Taümann.

Désireuse d’amener l’art lyrique auprès de tous les publics Claire vient de créer le spectacle  pour enfant « Songe d’une nuit d’opéra ». Salué par la critique, il a retenu l’attention de TF1 qui lui a consacré une rubrique dans son journal de 20H.

Après un Master de Philosophie, Nicolas intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Ces dernières années, nous avons pu l’entendre dans de nombreux ouvrages lyriques, parmi les plus classiques : Rigoletto (Sparafucile), La Traviata (Grenvil), Roméo et Juliette (Frère Laurent),  dans de nombreuses Flûte Enchantée (Sarastro, Sprecher), Pelléas et Mélisande (Arkel), les Nozze di Figaro (Bartolo, Antonio), Don Giovanni (Commendatore, Masetto) et bien d’autres encore dans de nombreux opéras et théâtres français et étrangers (Opéras de Tours, Reims, Sain-Etienne, Opéra Comique, Théâtre du Châtelet, Cité de la Musique, théâtre de Bilbao….) Au disque, il a sorti en 2016 un album Mozart consacré à des airs d’opéras ainsi que les 6 Nocturnes pour Basse, Mezzo et Soprano (Arties Records / Harmunia Mundi) album salué par la critique. Parmi ses projets notables, il fera la création mondiale du rôle de Namur dans l’opéra Fando et Lis à l’opéra de Saint-Etienne en 2018.

Diplômé du CRD de Pantin et de la Schola Cantorum, Benoît Gadel se forme auprès de Mickaël Mardayer et de Nadine Denize.

Sur scène, sa voix de baryton-basse lui permet d’interpréter aussi bien le répertoire lyrique et romantique (Escamillo – Carmen de Bizet, Haly – L’Italienne à Alger de Rossini, Colline – La bohème de Puccini) que des oeuvres plus anciennes (le Génie du froid – King Arthur de Purcell, Adonis – Vénus et Adonis de Blow). Il est également très à son aise dans les rôles mozartiens tels que Figaro (Les noces de Figaro), Guglielmo, (Cosi fan tutte) ou encore

l’Orateur de La flûte enchantée. Au concert, il interprète régulièrement des oeuvres sacrées de Bach (Magnificat, Passion selon Saint Jean, cantates) et Mozart (Requiem, Grande messe en ut), mais également Charpentier (Te Deum, motets), Fauré (Requiem), Saint-Saëns (Requiem), Dvorak (Te Deum), ou encore Brahms (Requiem allemand).

« Après une jeunesse dédiée au piano jazz et aux compétitions de rollers, Benjamin Mayenobe étudie le chant au conservatoire d’Aix-en-Provence, à la Maitrise de Notre-Dame de Paris puis au CNSM de Paris dont il sort diplômé en 2014. Il est très tôt remarqué pour « le mordant de son timbre », son « émission percutante », son « sens de la comédie » ainsi que sa diction. En 2012, il est nommé Révélation artiste lyrique de l’ADAMI. Il devient membre de la Troupe de l’Opéra de Rouen de 2014 à 2016. Et c’est en 2016 au Japon qu’il est cette fois-ci nommé Révélation Lyrique du Pacific Music Festival.

Sur les scènes d’opéra, Benjamin a chanté notamment les rôles de Guglielmo (Cosi fan tutte), Figaro (Il barbiere di Siviglia), Marcello et Schaunard (La Bohème), Albert (Werther), l’Horloge Comtoise et le Chat (L’Enfant et les sortilèges), Danilo (la Veuve Joyeuse), Der Vater (Hänsel und Gretel), Der Heerrufer (Lohengrin de Wagner),… »

Parallèlement à ses études d’architecture au Caire, il commenceses études de chant lyrique à l’Opéra du Caire, qu’il poursuit  à l’Ecole Normale de Musique de Paris . En 2016,  il Obtient  son D.E.M au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Pantin avec les félicitations du jury.Il a participé à des masters classes avec Patricia Petibon, Véronique Genset Jennifer Larmore.  Joseph Kauzman débute en décembre 2014  dans Le Philtre d’Auber auGrand foyer de l’opéra de Marseille.Parmi ses futurs engagements il chantera en  2017-2018 Lindoro dansL’Italiana in Algeri de Rossini avec la compagnie Opéra-Théâtre à Genève, le Dr.Cajus dans Falstaff de Verdi avec la compagnie Alto à Paris et L’Hommed’Armes dans la Flute Enchantée de Mozart avec Opéra Nomade en Tournée en France.Il est lauréat du concours U.P.C.M.F  (prix André Messager, Mars 2017)et lauréat de la Fondation Royaumont, (prise de rôle : Bardolfo dans Falstaff de Verdi en Juillet 2017)

Chef de choeur, chef d’orchestre, chanteuse et claveciniste, Aude Glatard mène une activité pluridisciplinaire aussi bien en ensemble qu’en soliste.

Après une formation de violoniste et pianiste puis des études scientifiques, elle s’initie à la direction de choeur auprès de C. Simonpietri jusqu’à l’obtention du DEM mention Très Bien à l’unanimité et poursuit des études de direction d’orchestre auprès de N. Brochot . Elle se perfectionne de 2009 à 2012 au Pôle Supérieur de Paris-Boulogne-Billancourt en direction d’ensembles vocaux et instrumentaux où elle a eu l’occasion de diriger l’Ensemble Courtcircuit,

l’Orchestre d’Harmonie de la Musique de l’Air et la Musique des gardiens de la paix. Parallèlement, elle a été directrice musicale de différents ensembles instrumentaux et vocaux (l’Orchestre-Paris-Rive-Droite, l’ensemble Opus Neuf, l’ensemble vocal à voix égales Imo Cordis, …). Depuis novembre 2014, elle a repris la direction du Choeur Euphonia du CRR de Rueil-Malmaison. Attachée à la pédagogie et titulaire des Diplômes d’Etat de formation musicale et de direction d’ensembles instrumentaux, elle est actuellement chef de choeur et professeur de formation musicale au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison (92) et chante dans l’ensemble vocal féminin Le Miroir.

« D’origine Bulgare, Mariana Yotova dirige plusieurs formations vocales dont le choeur Da Capo. Le choeur regroupe des chanteurs de différents horizons passionnes pour le chant lyrique. Sous la baguette de Nicolas Krauze. Da Capo a réalisé de nombreux projets parmi lesquels le Requiem de Mozart,la Neuvième symphonie de Beethoven ect…»

Rejoignez, suivez Alto Concerts

© tous droits réservés – Alto-Concerts – Mentions légales

Conception site : www.gmacom.fr – Crédits photos : Benoît Daynes et Laurent Bugnet

Partagez le site à vos amis, collaborateurs en un clic :